Si la musique était physiquement capable d'habiter l'espace et le temps, d'élire résidence dans une pièce au lieu de juste résonner dans celle-ci, alors nous pourrions à coup sûr situer le travail des artistes. Certains albums seraient synonymes de leur lieu de naissance. Certains seraient imprégnés de la banlieue de célèbres villes. D'autres d'îles inexplorées... Cet album de Cougar entre dans cette dernière catégorie et vient d'un pays étrange mais magnifi que.
Conçu à Madison, Wisconsin, USA, les arrangements instrumentaux de Cougar tombent quelque part entre Four Tet, Fugazi et Nick Drake. Le son cependant singulier du groupe prend ses racines dans une vive sensibilité pour les textures et les formes, plus en ligne avec la musique à base de samples ou expérimentale qu'avec l'indie rock qui prend parfois des airs de rock academy. La musique de Cougar a de vrais effets sur les corps – qui sautent, se jettent en l'air, se roulent par terre – là où de trop nombreux groupes ne cherchent que l'ironie d'une posture (pingpong.fr).
Ninja Tune, le label anglais qui a du pif les a signés illico. The Heavy, c'est du costaud.
Formé il y a quatre ans à Noid, une petite bourgade du sud-ouest de l'Angleterre, The Heavy carbure au mélange. Faut dire qu'avec ses 10 frères et soeurs tous mélomanes, leur chanteur Swaby est un shaker musical à lui tout seul. Led Zep', Tom Waits ou Marvin Gaye : y'a un peu de tout ça dans leur son ! Et surtout un timbre qui rappelle un certain... Curtis Mayfield.
arte.tv/fr
Pour accompagner le spot aux faux airs d’argentique du dernier parfum
Kenzo Homme boisé la marque a choisi d’utiliser la chanson « How you
like me Now » de The Heavy.
Kenzo trouve là un parfait équilibre entre la douceur visuelle et l’énergie apportée par cette musique.
Réalisateur : Patrick Guedj
musiquepub.com
Andreya Triana vient de sortir le premier single issu de son futur album, 'Lost Where I Belong' (février 2010), co-écrit avec Fin Greenall (aka Fink) et produit par Simon Green (aka Bonobo).
Les fondateurs du label Ninja Tune, Coldcut, se mobilisent pour notre belle planète avec ces 3 mash-up video music (celebration, caution, solution).
Energy Union is a pan-European campaign tour with the objective of empowering young people and policy makers in Europe to take action against climate change. Energy Union promotes “Intelligent Energy”: the potential of renewable energy, energy-conscious behaviour and the need for changes at the political level.[1] Over the next two years the Energy Union tour will visit 12 countries across Europe with a live audio visual show from Coldcut, an interactive exhibition using the “Gridio” system, and political panel discussions.[2]
A section from Caution, the 2nd movement of Energy Union. Music by The Creeper and J Dilla. Aims to bring a little clarity as many people still don't accept the reality of manmade climate change. Although no-one fully understands how Earth's climate works, it is may be useful to listen to the solid consensus of reputable scientists and filter out the opposing climate skeptics, many of whom are 'Quacks' with limited credentials and dubious motivations. Energy Union is about Intelligent Energy and evolution. It's a Coldcut show, a political campaign, an international project, a party YOU are invited to. See ENERGYUNION.EU for more , and we're on Facebook too...EnergyUnion
En aparté de ses sorties solo, on avait déjà croisé Kid Koala aux côté de Gorillaz, Dan The Automator, et Money Mark, mais pas encore dans le cambouis du rock psyché. C’est fait avec The Slew, un projet monté il y a quelques années de cela avec les anciens Wolfmother et Dinomite D, en vue d’illustrer musicalement un documentaire qui n’a finalement jamais vu le jour. Et puisqu’il ne faut pas gâcher un registre que le Dj canadien qualifie lui même de “Nirvana du turntablism”, le groupe propose ici son album de dix titres produits par Mario Caldato Jr au téléchargement gratuit. Une sage décision puisque CD et LP ne sont pour le moment disponibles qu’aux concert (mowno.com).
"I haven't heard anything this crazy since Paul's Boutique"
Mario C., Engineer/Producer of Beastie Boys.
"Fidèle à ses préceptes ultramodernes, Anti-Pop Consortium présente un clip de haute technologie pour illustrer cet extrait de Fluorescent Black, l'album de la résurrection pour les rappeurs américains. Réalisée par le collectifThe Wilderness (...), cette vidéo spatiale décline la pose aérobic de Grace Jones sur la pochette de Island Life devant un décor intergalactique, avec les membres du quatuor dans le rôle des explorateurs du futur vêtus d'aluminium. Faut appeler Jean-Paul Goude" (magicrpm.com).
"Le premier single tiré du nouvel album de Bonobo (dont le titre n’est pas encore fixé), sortira le lundi 19 octobre dans les bacs. C’est avec Andreya Triana que Bonobo a choisi de préparer son retour. Une collaboration qui donne l’excellent The Keeper, un titre épuré, bercé de soul et de jazz.
Depuis “Days to Come” sorti en 2006, Simon Green, aka Bonobo, est devenu l’artiste Ninja Tune le plus écouté au monde ! Son nouvel album est prévu pour début 2010. En attendant, on peut vous dire que Bonobo est déjà allé à Barcelone pour enregistrer les cuivres, à San Francisco pour trouver la bonne batterie et qu’il est en ce moment dans son studio de Hackney pour fignoler le tout" (publikart.net).
"Ape School c’est une caverne d’Ali Baba pour tous les amoureux de pop euphorisante, psychédélique et interstellaire. L’unique protagoniste de ce projet léger comme l’air se nomme Michael Johnson, un musicien se faisant fort de créer tout seul et de chanter lui-même des morceaux se situant souvent dans la veine du génial Brian Wilson et de ses illustres Beach Boys. A l’aide d’une foultitude d’instruments analogiques et d’un synthé Moog, notre homme propose des compositions entre pop funky, rock planant, trip hop étrange ou invitations au surf halluciné sur la voûte céleste… Cet album recèle de nombreuses pépites pop intemporelles illuminées par des arrangements aussi précis qu’efficaces" (FNAC).
The Cinematic Orchestra ont composé la bande-son du film The Crimson Wing (Disney), un documentaire sur une colonie de flamands roses, tourné sur les rives du lac Natron, en Tanzanie du Nord.
Voir un extrait video ici et d'autres infos sur ce lien
Film publicitaire Chivas : qu'est-ce qu'on s'amuse bien tous ensemble, mais pas d'excès, hein !
"Redinguote et rouflaquettes au vent, Daedelus est un doux rêveur, un doux dingue, un extra-terrestre et un poète. Le fait est que le Californien est vraiment un cas à part (et "un cas" tout court) dans le domaine des musiques électroniques, et ce depuis toujours.
A cheval entre plusieurs époques, plusieurs univers, plusieurs styles, que cela soit esthétiquement ou techniquement, son évolution depuis Invention, son premier album sur le label américain Plug Research, est à la fois étonnante et pourtant complètement cohérente. Plus proche que jamais de ses idoles de toujours, Erik Satie, Robert Wyatt ou Arthur Baker, le Californien continue de surprendre, s'aventurant sur le terrain glissant du rnb bancal, de l'electro pop décalée ou du fourre-tout downtempo électronique, n'hésitant pas à user d'instruments expérimentaux (quoique très tendances) comme le désormais fameux Tenori-On.
Une machine tout aussi rigolote et fantaisiste que lui, dont il use sur "L.A. Nocturn" (quel titre !), son magnifique clip onirique qui ne dépare pas avec ce que nous écrivions déjà sur Denies the Day's Demise au court d'un entretien que le producteur nous accordait il y a deux ans, la musique de Deadelus est plus que jamais "un dédale de sons, de couleur et d'ambiance". (fluctual.net).
Toutes Peines Confondues, le nouvel album de Sylvie est sorti le 14 septembre.
En lancement de sa tournée, l'artiste a donné un concert plus intimiste que de coutume à l'Olympia devant un public enthousiaste et chaleureux, surpris de voir notre Johnny national la rejoindre sur scène pour un duo émouvant.
"… Sylvie Vartan semble elle-même en liberté quant à son identité musicale, après des dizaines de millions d’exemplaires vendus de centaines de chansons depuis ses débuts glorieux en 1961. Alors, curieusement, on ne finirait pas d’énumérer les nouveautés de ce disque, tant dans les collaborations que dans le fait qu’elle signe maintenant une partie de ses musiques comme celle, magnifique, d’Une lettre d’amour.
Mais les fidèles ne seront pas déçus : sous la photo de pochette signée de Pierre et Gilles, c’est bien Sylvie que l’on retrouve, avec sa voix au glamour un peu mat, à peine plus installée dans les graves que d’habitude. Et toujours la même manière de se tenir à distance de tout pathos trop flagrant, d’échapper au romanesque par une sorte de quant-à-soi têtu. Toujours star, toujours fidèle aux attributs de la légende" (RFI Musique).
Eileen, la fondatrice de French Fried Music, est particulièrement fière d'être l'éditrice des deux chansons de l'album composées par Sylvie elle-même, en collaboration avec Eric Chemouny pour les paroles : L'Amour Avec Des Sentiments, supplique d'une fille des rues, et Une Lettre d'Amour, "la seule chose qu'il reste quand le spectacle est terminé".
L'album inclut aussi une chanson écrite par Carla Bruni, qui a fait l'objet d'un buzz, mais que Sylvie interprète simplement pour sa qualité artistique.
Ecoute des titres représentés par French Fried Music ici
"LONDRES — La rappeuse anglaise Speech Debelle a créé la surprise en remportant mardi soir à Londres le Mercury Prize, prestigieux prix musical, devant des favoris comme Florence and the Machine, Bat For Lashes ou Kasabian.
Speech Debelle, 25 ans, a décroché ce prix doté de 20.000 livres (22.700 euros) pour son premier album, "Speech Therapy", qui lui a été inspiré par sa jeunesse agitée dans les quartiers sud de Londres. Elle succède au palmarès au groupe Elbow, victorieux l'an dernier.
"Tous les jours à la radio, on entend des musiques qui sonnent de la même manière. Mon album ne sonne pas comme les autres et a malgré tout remporté le Mercury Prize", a réagi la rappeuse, de son vrai nom Corynne Elliot.
Florence and the Machine, Bat For Lashes, Kasabian ou Glasvegas faisaient figure de favoris pour l'obtention du Mercury Prize, auquel un total de douze groupes ou artistes prétendaient, dont The Horrors, Friendly Fires ou La Roux.
Le Mercury Prize, créé en 1992 pour récompenser le meilleur de la musique britannique et irlandaise, est décerné par un panel de musiciens, producteurs, présentateurs et journalistes spécialisés.
Remporter ce prix, ou être simplement sélectionné, se traduit en général par une très forte augmentation des ventes. L'album de Speech Debelle ne s'est vendu qu'à 3.000 exemplaires depuis sa sortie en juin.
La liste des précédents vainqueurs comprend des groupes comme Arctic Monkeys, Portishead, Pulp ou Franz Ferdinand" (AFP).
"Voilà peut-être l’album qui va relancer le hip-hop britannique, qui à quelques exceptions près (Roots Manuva, The Streets...), n’est pas dans la période la plus prolifique, ni la plus faste de son histoire. A 26 ans, Speech Debelle livre un premier disque en forme de journal intime qui détonne fortement dans l’univers égotrippé et bling-bling du hip-hop. Et s’il est rare de parler d’humilité et de douceur au sujet d’un artiste du genre, la rappeuse de South London mérite largement ces qualificatifs. Dès les premières notes de guitare acoustique de “Searching”, il ne fait aucun doute que nous tenons là un album particulièrement atypique..."
Soul jazz de derrière les fagots, vieux disques reggae, galettes dub, hip-hop old school, pop kitsch et electro dernier cri, la liste d’ingrédients utilisés par Mr Scruff s’étend à l’infini. « Keep It Unreal » parvient à faire le joint entre ces tempos et ambiances différentes. Un savant et déconnant collage uni par la bonne vibration (FNAC).
"Après la production glam et baroque de son second album “Never Never Love”, Pop Levi retourne à l’essentiel. Il a débauché un nouveau batteur, Hayden Scott et a retrouvé son ami de longue date, le bassiste Lucky Beaches. La fine équipe est partie s’isoler dans le désert californien près de Joshua Tree pour enregistrer son album, on retrouve sur ce single les deux premiers extraits.
Le son de Pop Levi n’a jamais été aussi viscéral, un garage rock rudimentaire ou se croise l’esprit du début des Stooges et la ‘magie’ Pop Levi. Le morceau ‘Police $ign’ est selon Pop «L’histoire d’une roller-girl qui se sert de l’équipement de la mairie pour obtenir ce qu’elle veut». ‘Terrifying’ rend hommage à l’un des héros undergroud de la Pop Levi culture, le réalisateur Kenneth Anger. Ecrit en regardant son film culte “Invocation Of My Demon Brother” par dessus des riffs sanglants, il crie son amour en voix de tête.
La machine Pop Levi est de nouveau en marche. Il vient juste finir une tournée américaine avec Fujiya and Miyagi et il est prêt à reprendre la route avec ses morceaux de rock crasseux. Cet homme est un génie et aussi très probablement complètement fou, mais qui s’en soucie tant qu’il continue à sortir d’aussi bons albums (Ping Pong).
Thunderheist, un duo canadien aux sonorités puissantes entre hip hop et électro : belle rencontre entre la voix souvent nonchalante mais séduisante d’Isis et les beats électro de Grahmzilla (unblogged.fr).
Stateless, un nom des plus intrigants pour un groupe qui ne se revendique d’aucune scène. Ici pas de riffs de guitares tapageurs, mais une utilisation du piano à la Coldplay avec la voix haut-perchée de son leader Chris James façon Jeff Buckley, le tout sur des arrangements somptueux. L’album est à la fois rêveur, soulful, plein d’émotions, parfois épique ou intimiste. Les dix chansons combinent avec grâce un impact émotionnel, touchant au cœur avec une ambition des plus héroïques. Ne refusant aucun effet de style, Stateless mêle les éléments rock habituels à des rythmiques drum’n’bass (« Prism »), à des envolées de cordes (« Exit ») ou à du rap (« This language »). L’album agit comme un puissant narcotique qui envoûte son auditeur (Openmag).
Fait de lo-fi hyper léché, de mélodies faussement bricolos, Heretic pride surprend jusqu'au bout par ses petites inventions et recyclages sonores mêlés. Un vrai disque élégant et poétique, riche et intelligent. Un disque qui rappelle que le rock ne se joue pas qu'en catégorie poids lourds. Ouf ( Froggy's Delight).
Ecoute intégrale de Hybrid (2008) ici et de Get Lonely (2006) ici
Utilisant des guitares poussées par des delays massifs, des claviers et des boucles rythmiques samplées à partir de batteries réelles, Corrales, le fondateur de Yppah, a créé un paysage sonore complexe et multi-couches d’une réelle beauté. Sa musique n’en est pas pour autant dépourvue du cachet insistant et entrainant de ses premières influences. Elle possède un certain air de mélancolie dont le côté aérien a certainement été influencé par les grands espaces texans. On a presque le sentiment de voler haut dans ciel et de regarder vers le sol où plein de gens minuscules évoluent… (Ping Pong).
Nouveau trailer atmosphérique réalisé à partir d’extraits du jeu Alone in the Dark, sur une musique prenante de l’artiste Texan Yppah, offrant quelques indices sur les nouvelles aventures d’Edward Carnby dans Central Park.
Les Apples in Stereo, peu connus en France, sont les porte-drapeaux indie d'une sunny pop mélodique et jubilatoire.
Formés en 1993 à Denver, Colorado, sous l'impulsion du chanteur et guitariste Robert Schneider (co-fondateur du collectif Elephant 6), le groupe a concocté toute une série de savoureux pop milshakes rehaussés d'effets psychédéliques, sous influence des Beatles, du Velvet Underground et des Beach Boys.
Robert Schneider vient de sortir "Robbert Bobbert and The Bubble Machine", un album plein de fraicheur écrit pour les enfants.
En 2007 paraît leur sixième album New Magnetic Wonder d'où est extrait leur hit Energy ("And the world is made of energy... It’s gonna be allright") :
Nouvelle signature chez Warp, prestigieux label anglais d'une électronique sans compromis, l’américain Steven Ellison aka Flying Lotus s’est fait remarquer, à la fin de l’année dernière avec un maxi qui laissait augurer de son univers, entre hip hop soul profond et envoutant, expérimentations noisy, trip hop glitchien, craquements vinyliques, percussions brumeuses…
On pourrait presque avoir tout dit, à travers ces quelques qualificatifs, des qualités de cet artiste hors format, qui semble prendre un malin plaisir à cacher sa musique derrière des montagnes d’effets perturbateurs, qui au fil des écoutes dévoilent toute leur importance au sein de sa création.
Difficile de définir la musique de Flying Lotus sans être réducteur. Comment qualifier cet objet sonore qui renvoie à ce que la musique a de plus précieux : la Liberté? Los Angeles renvoie aux fantômes que pourchassent beaucoup, sans même les entrevoir, alors que Flying Lotus les côtoie et leur offre une tribune, une porte d’ouverture entre le notre et le leur, un passage vers un no man’s land aux racines enfouies dans l’histoire d’une humanité rongée par ses propres démons.
Les tracks se succèdent définissant les frontières d’un univers qui n’en a pas, déployant des couches de douceur psychédélique sous des strates de rugosité hypnotiques, convoquant le dubstep et le jazz à côtoyer les sphères de l’expérimentation stellaire, vidant la soul de ses poncifs pour la rhabiller d’un manteau de noirceur urbaine emblématique d’un monde asphyxié. Flying Lotus signe avec Los Angeles, un de ces albums majeurs qu’il faut apprendre à maitriser pour ne pas sombrer avec lui dans la démence de la perfection, inscrivant son nom dans le panthéon des artistes qui comptent (Roland Torres pour 90bpm).
Instrumental beat-poet Flying Lotus pays tribute to vintage video games and cartoon culture.
L'agence publicitaire W+K Tokyo a conçu ces 3 films pour less chaussures Nike et leur nouvelle technologie ultra-légère.
Réalisateurs : Chris Hutchinson & Driscoll Reid.
Musique : Flying Lotus (Just Isn't Music)
Honey Ryder, c'était Ursula Andress émergeant des flots en bikini dans Dr. No, le premier James Bond.
Aujourd'hui, c'est un duo londonien façonnant un son pop-rock, épique et consensuel, à écouter sur son auto-radio, cheveux au vent sur l'autoroute…
vidIllustration musicale du meilleur jeu disponible pour l'iPhone. "Rolandoland a été envahi et les Rolandos ont besoin de votre aide! Utilise un système d'inclinaison innovant et des commandes tactiles pour résoudre des puzzles, pour jouer avec des environnements interactifs et pour échapper à tes ennemis tandis que tu mènes les Rolandos à la victoire".
Composé de Beau Velasco et de Johnny Siera, The Death Set est signé par Counter, la division rock de Ninja Tune. Leur rock punk énervé comme leur présence scénique font d’eux de véritables « brothers in attitude » d’un Dan Deacon ou d’un Girl Talk qui ont déjà fait parler d’eux aux Trans Musicales. Leur dernier album, Worldwide, est à l’image de la débauche d’énergie que représente un concert de ces deux énergumènes : 18 chansons en 26 minutes. Pas un temps mort, histoire de ne pas laisser le public reprendre son souffle (Loig, lestrans.com).
Foley Room, le dernier album d'Amon Tobin, expérimente les objets sonores et invite, entre autres, le Kronos Quartet, pour créer une symphonie urbaine et dense, bande-son d'un film imaginaire.
Ce standard incontournable a fait l'objet d'innombrables interprétations et synchros au cinéma (Good Morning Vietnam) et dans la publicité.
Ecrite comme un antidote contre le climat de racisme quotidien qui régnait alors aux USA, la chanson véhicule un message d'espoir pour le futur.
Louis Armstrong en fut son premier et plus vieux interprète, en 1968, à l'âge de 66 ans.
A l'époque, le disque fit un flop aux Etats Unis, mais fut n°1 au Royaume Uni avant de l'être à son tour dans son pays d'origine, vingt ans plus tard, en 1988.
Juste après les attaques du 11 septembre 2001, la chanson fit partie d'une liste noire qui la bannit des medias.
