En aparté de ses sorties solo, on avait déjà croisé Kid Koala aux côté de Gorillaz, Dan The Automator, et Money Mark, mais pas encore dans le cambouis du rock psyché. C’est fait avec The Slew, un projet monté il y a quelques années de cela avec les anciens Wolfmother et Dinomite D, en vue d’illustrer musicalement un documentaire qui n’a finalement jamais vu le jour. Et puisqu’il ne faut pas gâcher un registre que le Dj canadien qualifie lui même de “Nirvana du turntablism”, le groupe propose ici son album de dix titres produits par Mario Caldato Jr au téléchargement gratuit. Une sage décision puisque CD et LP ne sont pour le moment disponibles qu’aux concert (mowno.com).
"I haven't heard anything this crazy since Paul's Boutique"
Mario C., Engineer/Producer of Beastie Boys.
"Fidèle à ses préceptes ultramodernes, Anti-Pop Consortium présente un clip de haute technologie pour illustrer cet extrait de Fluorescent Black, l'album de la résurrection pour les rappeurs américains. Réalisée par le collectifThe Wilderness (...), cette vidéo spatiale décline la pose aérobic de Grace Jones sur la pochette de Island Life devant un décor intergalactique, avec les membres du quatuor dans le rôle des explorateurs du futur vêtus d'aluminium. Faut appeler Jean-Paul Goude" (magicrpm.com).
"Le premier single tiré du nouvel album de Bonobo (dont le titre n’est pas encore fixé), sortira le lundi 19 octobre dans les bacs. C’est avec Andreya Triana que Bonobo a choisi de préparer son retour. Une collaboration qui donne l’excellent The Keeper, un titre épuré, bercé de soul et de jazz.
Depuis “Days to Come” sorti en 2006, Simon Green, aka Bonobo, est devenu l’artiste Ninja Tune le plus écouté au monde ! Son nouvel album est prévu pour début 2010. En attendant, on peut vous dire que Bonobo est déjà allé à Barcelone pour enregistrer les cuivres, à San Francisco pour trouver la bonne batterie et qu’il est en ce moment dans son studio de Hackney pour fignoler le tout" (publikart.net).
"Ape School c’est une caverne d’Ali Baba pour tous les amoureux de pop euphorisante, psychédélique et interstellaire. L’unique protagoniste de ce projet léger comme l’air se nomme Michael Johnson, un musicien se faisant fort de créer tout seul et de chanter lui-même des morceaux se situant souvent dans la veine du génial Brian Wilson et de ses illustres Beach Boys. A l’aide d’une foultitude d’instruments analogiques et d’un synthé Moog, notre homme propose des compositions entre pop funky, rock planant, trip hop étrange ou invitations au surf halluciné sur la voûte céleste… Cet album recèle de nombreuses pépites pop intemporelles illuminées par des arrangements aussi précis qu’efficaces" (FNAC).
The Cinematic Orchestra ont composé la bande-son du film The Crimson Wing (Disney), un documentaire sur une colonie de flamands roses, tourné sur les rives du lac Natron, en Tanzanie du Nord.
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Film publicitaire Chivas : qu'est-ce qu'on s'amuse bien tous ensemble, mais pas d'excès, hein !
"Redinguote et rouflaquettes au vent, Daedelus est un doux rêveur, un doux dingue, un extra-terrestre et un poète. Le fait est que le Californien est vraiment un cas à part (et "un cas" tout court) dans le domaine des musiques électroniques, et ce depuis toujours.
A cheval entre plusieurs époques, plusieurs univers, plusieurs styles, que cela soit esthétiquement ou techniquement, son évolution depuis Invention, son premier album sur le label américain Plug Research, est à la fois étonnante et pourtant complètement cohérente. Plus proche que jamais de ses idoles de toujours, Erik Satie, Robert Wyatt ou Arthur Baker, le Californien continue de surprendre, s'aventurant sur le terrain glissant du rnb bancal, de l'electro pop décalée ou du fourre-tout downtempo électronique, n'hésitant pas à user d'instruments expérimentaux (quoique très tendances) comme le désormais fameux Tenori-On.
Une machine tout aussi rigolote et fantaisiste que lui, dont il use sur "L.A. Nocturn" (quel titre !), son magnifique clip onirique qui ne dépare pas avec ce que nous écrivions déjà sur Denies the Day's Demise au court d'un entretien que le producteur nous accordait il y a deux ans, la musique de Deadelus est plus que jamais "un dédale de sons, de couleur et d'ambiance". (fluctual.net).