Sorti en 2011, le premier album de Trevor Powers, Year of Hibernation portait particulièrement bien son nom.
La suite arrive. Elle s’appelle Wondrous Bughouse. Les angoisses n’ont pas disparu (…). Peut-être se sont-elles mêmes aggravées.
Car les horizons de Youth Lagoon se sont encore élargis. Largement.
Dans tous les sens, de l’horizontalité à la verticalité : sans quitter
ses territoires pop, Powers a cherché des réponses à ses questions
métaphysiques dans une exploration plus poussée du psychédélisme, donc
sans doute en puisant dans sa propre psyché, a choisi d’arranger ses
morceaux dans une plus grande opulence et a fini par toucher, du doigt,
des étoiles et territoires magnifiques, qu’il n’avait pas encore
explorés, et qu’on explorera des mois à ses côtés.
A paraître le 18 mars, Wondrous Bughouse, qui ne s’apprivoise
pas dès la première écoute mais ne révèle ses secrets et beautés qu’aux
patients et attentifs, est ainsi un disque plus complexe, plus plein,
plus variable que Year of Hibernation. Un seul morceau, l’épiphanique, personnel et bouleversant Dropla, est pour l’instant en écoute. Mais il donne une idée de l’amour que vous pourriez porter à Wondrous Bughouse : grand, véritable, durable.
lesinrocks.com
Écoute intégrale de l'album ici
Pages Web de Youth Lagoon :
Fat Possum Records
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