mercredi 31 juillet 2013
Danny Byrd - Grit (ft. Roni Size) / Love You Like This
Danny Byrd is back and ready to blow 2013 away with a brand new single in the run up to the release of his third studio album later this year.
First he teams up with Bristol based Full Cycle legend and Mercury Music Prize winner Roni Size for the explosive, dancefloor-driven “Grit”. On the flipside is “Love You Like This” which is guaranteed to charm and impress with its uplifting, vocal-driven vibe.
Hospital Rec
Pages Web de Danny Byrd :
Site officiel
mercredi 24 juillet 2013
Breach - Jack : au poil !
Breach est le pseudo de Ben Westbeech, DJ producteur chanteur anglais
installé à Amsterdam. D’abord destiné au clubs londoniens, le titre est
rapidement devenu populaire en dehors du monde de la nuit. Première
anecdote : si vous vous demandez quelle est la chanteuse qui assure la
partie vocale, la réponse est simple : c’est Ben lui-même. Il adore
bidouiller les sons et s’est aussi chargé de bidouiller sa voix !
LA vidéo marrante du moment, avec moult effets capillaires et poilus, et pas que ! De quoi assurer un buzz certain dans les semaines qui viennent…
Deuxième anecdote : le titre est une commande de son boss pour une face B de single, que Ben a composé en une semaine sans la moindre intention d’en faire un single commercial ni un titre chanté. Et la phrase répétée à l’envie « ”I want your body, everybody wants your body, so let’s Jack » lui est venue une nuit, en se réveillant après un rêve fou. Il l’a immédiatement écrite sur son téléphone !
Qui a dit que c’était compliqué de faire un hit ?
topmusiquedumoment.com
Écoute intégrale du EP ici
L’excellent clip “Jack“, réalisé par Sacred Egg pour le groupe Breach. Un savant mélange capillaire et WTF dans un univers décalé où les poils, les moustaches, les barbes et les cheveux sont à l’honneur !
Voir le "making of"de la vidéo ici
Finn Lurcott Remix :
Application/Jeu Jackin' or Slackin' ici
Pages Web de Breach :
Facebook
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Soundcloud
LA vidéo marrante du moment, avec moult effets capillaires et poilus, et pas que ! De quoi assurer un buzz certain dans les semaines qui viennent…
Deuxième anecdote : le titre est une commande de son boss pour une face B de single, que Ben a composé en une semaine sans la moindre intention d’en faire un single commercial ni un titre chanté. Et la phrase répétée à l’envie « ”I want your body, everybody wants your body, so let’s Jack » lui est venue une nuit, en se réveillant après un rêve fou. Il l’a immédiatement écrite sur son téléphone !
Qui a dit que c’était compliqué de faire un hit ?
topmusiquedumoment.com
Écoute intégrale du EP ici
L’excellent clip “Jack“, réalisé par Sacred Egg pour le groupe Breach. Un savant mélange capillaire et WTF dans un univers décalé où les poils, les moustaches, les barbes et les cheveux sont à l’honneur !
Voir le "making of"de la vidéo ici
Finn Lurcott Remix :
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mardi 23 juillet 2013
New Found Land - New Found Land : pop scandinave
Si je n’ai pas encore pour projet d’adopter la nationalité suédoise,
concernant la musique, la Suède est devenue en quelques années et
quelques disques mon pays de cœur. Je n’ai jamais cessé de tomber sous
le charme de leur faune musicale et notamment des sirènes de Palpitation
au duo adorable d’Alpaca Sports.
À côté de ces groupes, New Found Land, projet centré autour de la belle Anna Roxenholt, n’est pas étranger à cet amour de la pop suédoise.
Même si aujourd’hui la chanteuse vit à Berlin, ce nouveau disque, éponyme, a fait le voyage entre l’Allemagne et la Suède, entre le studio berlinois « Chez Chérie » où les fondations ont été posées et la maison de sa mère dans le Dalsland où le reste de l’album s’est construit.
Comme un parallèle entre ces deux destinations, « New Found Land », l’album, invite aussi au déplacement, débroussaillant à travers les variations d’une pop plus ou moins dense, un amour immuable pour ces grandes épopées titillant l’imaginaire.
Rien que le premier titre de l’album mérite et justifie pour moi la possession de ce disque. « Only My Winnings » réveille les plus belles voix féminines de la pop scandinave, cristallines et chaleureuses, apposées à des sonorités soigneusement conduites.
Premier single de l’album dévoilé en décembre dernier, « Mirror » fait jeu égal à la mécanique de précision de Florence and The Machine cumulée à l’instrumentation ésopique de notre Woodkid national. Forcément, on y croit.
En prenant quelques risques, Anna ne reproduira jamais le schéma établi d’un titre à l’autre.
New Found Land change les règles du jeu en provoquant les croisements inattendus d’ambiances dont le très audacieux « Windowsill » au minimalisme caverneux ou le terminal « What Is Love » démarré a capella sur fond de souffle, où l’instrumentation électronique s’invite par touches successives comme les chœurs divins en conclusion des dernières minutes.
Entre temps, on aura pu découvrir d’autres titres plus classiques, certes moins uniques, mais offrant à profiter de toute la palette des talents du projet New Found Land.
« The Cross » visera les amoureux d’une pop froide, mais pas frisquette, joliment exécutée entre les quelques cuivres entrainants et la voix d’Anna résonnant parmi les parois arctiques tandis que « The Hunter » se rapprochera davantage d’un Boy, avec ses couplets chaleureux et dansants comme autour d’un feu de joie.
Enfin, on ne pourra pas passer à côté du délice pop folk « Sweetness & Delight » qui nous embarque en escale parmi les mers d’opales avec une douceur sensible.
Le troisième album de « New Found Land », après « We All Die » et « The Bell » contribue à magnifier toujours plus le talent pas assez révélé de cette merveilleuse artiste qui a tout dans sa manière de produire le son pour lui donner corps et âme.
« New Found Land » de New Found Land est sorti le 1er mars chez Fixe Records.
Fréd Lombard - indiemusic.fr
Écoute intégrale de l'album ici
Titres recommandés : "The Hunter", "The Mirror", What Is Love"
Discographie de New Found Land ici
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À côté de ces groupes, New Found Land, projet centré autour de la belle Anna Roxenholt, n’est pas étranger à cet amour de la pop suédoise.
Même si aujourd’hui la chanteuse vit à Berlin, ce nouveau disque, éponyme, a fait le voyage entre l’Allemagne et la Suède, entre le studio berlinois « Chez Chérie » où les fondations ont été posées et la maison de sa mère dans le Dalsland où le reste de l’album s’est construit.
Comme un parallèle entre ces deux destinations, « New Found Land », l’album, invite aussi au déplacement, débroussaillant à travers les variations d’une pop plus ou moins dense, un amour immuable pour ces grandes épopées titillant l’imaginaire.
Rien que le premier titre de l’album mérite et justifie pour moi la possession de ce disque. « Only My Winnings » réveille les plus belles voix féminines de la pop scandinave, cristallines et chaleureuses, apposées à des sonorités soigneusement conduites.
Premier single de l’album dévoilé en décembre dernier, « Mirror » fait jeu égal à la mécanique de précision de Florence and The Machine cumulée à l’instrumentation ésopique de notre Woodkid national. Forcément, on y croit.
En prenant quelques risques, Anna ne reproduira jamais le schéma établi d’un titre à l’autre.
New Found Land change les règles du jeu en provoquant les croisements inattendus d’ambiances dont le très audacieux « Windowsill » au minimalisme caverneux ou le terminal « What Is Love » démarré a capella sur fond de souffle, où l’instrumentation électronique s’invite par touches successives comme les chœurs divins en conclusion des dernières minutes.
Entre temps, on aura pu découvrir d’autres titres plus classiques, certes moins uniques, mais offrant à profiter de toute la palette des talents du projet New Found Land.
« The Cross » visera les amoureux d’une pop froide, mais pas frisquette, joliment exécutée entre les quelques cuivres entrainants et la voix d’Anna résonnant parmi les parois arctiques tandis que « The Hunter » se rapprochera davantage d’un Boy, avec ses couplets chaleureux et dansants comme autour d’un feu de joie.
Enfin, on ne pourra pas passer à côté du délice pop folk « Sweetness & Delight » qui nous embarque en escale parmi les mers d’opales avec une douceur sensible.
Le troisième album de « New Found Land », après « We All Die » et « The Bell » contribue à magnifier toujours plus le talent pas assez révélé de cette merveilleuse artiste qui a tout dans sa manière de produire le son pour lui donner corps et âme.
« New Found Land » de New Found Land est sorti le 1er mars chez Fixe Records.
Fréd Lombard - indiemusic.fr
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Titres recommandés : "The Hunter", "The Mirror", What Is Love"
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mercredi 10 juillet 2013
The West - In Low Light : Disco Dance ensorcelée
Plongeons dans l’Underground Music avec l’excellent premier album de The West intitulé In Low Light.
Seattle, ville de mélomanes par excellence mais cimetière oublié. Eh oui, rappelez-vous de Hendrix, Cobain et consort… Bastion du label Indie Sup Pop Records, le patelin de l’état de Washington compte non seulement une grosse scène qui perdure malgré ses drames mais jouit de certains groupes résolument bons. C’est le cas de The West, qui mêle un son indie rock pêchu et des claviers dance rock à en user les semelles de vos baskets sur le dancefloor d’un club Underground.
Imaginez The Smiths faire un enfant à The Whip… Ou l’inverse. The West, c’est avant tout un groupe qui lâche des riffs indie rock qui bronze sur des mélodies synthétiques ultra 80′s, sous couvert de rythmes dance endiablés. "It Was Disco And It’s Over" rappelle clairement l’œuvre de Joy Division et du groupe de Morrissey. Une sorte de témoignage au nom d’une new wave qui revient de plus en plus sur le devant de la scène musicale actuelle. "Don’t Make A Sound" groove comme c’est pas permis et la présence de la basse sur "Another Story" prend un malin plaisir à vous abimer la nuque, de la même manière que "You Won’t" absorbe votre énergie.
Encore un groupe à suivre de prêt. Comme quoi, les britanniques ne façonnent pas toute la scène musicale indépendante, loin de là d’ailleurs…
leblogonthewall.wordpress.com
Écoute intégrale de l'album In Low Light ici
Pour accompagner la sortie de leur nouvel album, The West ont lancé une souscription pour financer la production du clip du titre "It was Disco and it's Over" :
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Seattle, ville de mélomanes par excellence mais cimetière oublié. Eh oui, rappelez-vous de Hendrix, Cobain et consort… Bastion du label Indie Sup Pop Records, le patelin de l’état de Washington compte non seulement une grosse scène qui perdure malgré ses drames mais jouit de certains groupes résolument bons. C’est le cas de The West, qui mêle un son indie rock pêchu et des claviers dance rock à en user les semelles de vos baskets sur le dancefloor d’un club Underground.
Imaginez The Smiths faire un enfant à The Whip… Ou l’inverse. The West, c’est avant tout un groupe qui lâche des riffs indie rock qui bronze sur des mélodies synthétiques ultra 80′s, sous couvert de rythmes dance endiablés. "It Was Disco And It’s Over" rappelle clairement l’œuvre de Joy Division et du groupe de Morrissey. Une sorte de témoignage au nom d’une new wave qui revient de plus en plus sur le devant de la scène musicale actuelle. "Don’t Make A Sound" groove comme c’est pas permis et la présence de la basse sur "Another Story" prend un malin plaisir à vous abimer la nuque, de la même manière que "You Won’t" absorbe votre énergie.
Encore un groupe à suivre de prêt. Comme quoi, les britanniques ne façonnent pas toute la scène musicale indépendante, loin de là d’ailleurs…
leblogonthewall.wordpress.com
Écoute intégrale de l'album In Low Light ici
Pour accompagner la sortie de leur nouvel album, The West ont lancé une souscription pour financer la production du clip du titre "It was Disco and it's Over" :
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mardi 9 juillet 2013
Charlie Jones - Love Form : musique d'un film à imaginer
Britannique, Charlie Jones est bassiste, auteur et producteur. Il a tourné et enregistré avec notamment Robert Plant (ex Led Zeppelin), Siouxsie Sioux et la chanteuse Alison Goldfrapp.
Love Form est son premier album : une vision singulière, sensuelle et d'une grande musicalité.
Parmi ses influences, Jones cite autant ses souvenirs d'enfance - les sons produits par les craquements d'un bateau ou les dimanches passés à écouter les vinyles de jazz et classique de son père - que les grands maîtres de notre temps, de Messiaen à Miles, de Bernard Hermann à Barry White.
Le choix des musiciens qu'il a réunis en dit long sur le soin avec lequel Charlie a réalisé cet album remarquable. On y trouve la grande harpiste écossaise Ruth Wall, Johnny Baggot au piano, collaborateur de Portishead et Massive Attack, Alison Goldfrapp en siffleuse de service, et pas moins de 4 percussionnistes de haut vol.
Jones a privilégié la performance live, souvent enregistrée en une seule prise, garantie sans samples, boucles, synthés et manipulation numérique d'aucune sorte. Les sons électroniques sont générés par l'équipement vintage de Charlie, après une mise en chauffe d'au moins 8 heures.
Le résultat ressemble à la bande-son d'un film encore à imaginer.
Pages Web de Charlie Jones :
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Dog Day Press
Love Form est son premier album : une vision singulière, sensuelle et d'une grande musicalité.
Parmi ses influences, Jones cite autant ses souvenirs d'enfance - les sons produits par les craquements d'un bateau ou les dimanches passés à écouter les vinyles de jazz et classique de son père - que les grands maîtres de notre temps, de Messiaen à Miles, de Bernard Hermann à Barry White.
Le choix des musiciens qu'il a réunis en dit long sur le soin avec lequel Charlie a réalisé cet album remarquable. On y trouve la grande harpiste écossaise Ruth Wall, Johnny Baggot au piano, collaborateur de Portishead et Massive Attack, Alison Goldfrapp en siffleuse de service, et pas moins de 4 percussionnistes de haut vol.
Jones a privilégié la performance live, souvent enregistrée en une seule prise, garantie sans samples, boucles, synthés et manipulation numérique d'aucune sorte. Les sons électroniques sont générés par l'équipement vintage de Charlie, après une mise en chauffe d'au moins 8 heures.
Le résultat ressemble à la bande-son d'un film encore à imaginer.
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Dog Day Press
mardi 2 juillet 2013
Black Pistol Fire - Hipster Shakes : ébouriffant
Black Pistol Fire, ce sont Kevin McKeown et Eric Owen, un duo canadien de Rock'n Roll, entre White Stripes et Black Keys, qui partage son temps entre Toronto, Ontario et Austin (Texas).
Cet été, ils sortent un single numérique, nouvel enregistrement de leur titre "Hipster Shakes", accompagné d'un "b-side" acoustique intitulé "Grease My Wheels".
Cet été, ils sortent un single numérique, nouvel enregistrement de leur titre "Hipster Shakes", accompagné d'un "b-side" acoustique intitulé "Grease My Wheels".
Plus d'infos sur ce post
Sites Web de Black Pistol Fire :
Site officiel
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Filthy Boy - Smile That Won't Go Down : talent démoniaque
1er avril 2013, le premier album des frères Morrissey et de leur 2 acolytes sort en Angleterre, et les mêmes ingrédients sont là : des tubes en série qui se caractérisent par des mélodies accrocheuses et des paroles terrifiantes ! Chaque chanson est le prétexte pour raconter une nouvelle comptine de cauchemar. The Kinks à la sauce Dexter.
Enfant abusé, prostituée violée, amant violent tabassé, mari ouvertement trompé… mais qu’est-ce qui pousse ces gamins, la vingtaine à peine entamée, à débiter des horreurs pareilles ? Sous couvert de second degré et d’un certain humour, on plonge à l’écoute de Smile That Won’t Go Down dans la contemplation effarée d’un véritable musée des horreurs. Le sourire dont il est question dans le titre de l’album fait d’ailleurs bien plus penser à celui de l’Homme qui rit ou d’Hannibal Lecter, qu’à une quelconque expression de joie ou de bonheur…
Mais le talent démoniaque de ces 4 jeunes gens, c’est d’accompagner leurs paroles d’une musique certes dépouillée de tout effet, brute et tranchante comme un lame de rasoir, mais toujours avec un semblant de gaité qui cache la noirceur du propos. Et l’on se retrouve à onduler de la tête et des épaules en écoutant l’histoire de la déchéance d’un homme devenu SDF sur That Life ou le récit de cette femme reluquée dans un bar par un pervers sur Spiral Eyes.
Au final, Smile That Won’t Go Down est un très grand album mais qui, si l’on prend le temps d’une écoute attentive, pourrait bien vous faire faire des cauchemars… ou tout du moins vous mettre mal à l’aise.
alecoute.net
"Waiting On The Doorstep/Mental Conditions" est le premier single issu de l'album :
Écoutez et téléchargez "Jimmy Jammies" ici
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Site officiel
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lundi 1 juillet 2013
JJ Grey & Mofro - This River
De la soul funky avec des riffs de rock sudiste, JJ Grey revient avec ce son si particulier qui lui est propre. Et c’est sans retenue qu’on se laisse entraîner au fil de cette rivière, univers musical où la mélodie a autant d’importance que le rythme. Il y a un certain lyrisme dans l’expression, une voix agréable chargée d’émotion et légèrement rocailleuse, des arrangements de cuivres percutants, et toujours cette énergie et cette passion débordante qu’on retrouve d’un disque à l’autre. Offensif ou réservé dans son expression, JJ Grey est un chanteur plein de fougue et de subtilité qui passe du flow du rap au phrasé de la soul. Accompagné par les 6 musiciens du super band Mofro, il ne se contente pas pour autant de chanter puisqu’il joue tour à tour de la guitare électrique, de la guitare acoustique 6 ou 12 cordes, de la basse, de l’harmonica et du tambourin. Les 9 titres qu’il signe sur les 10 sont un mélange de brutalité et de tendresse qui racontent des tranches de vie et des voyages intérieurs où l’ardeur le dispute à la mélancolie. Le disque se clôt sur la superbe ballade ‘This River’ qui donne son titre à l’ensemble et qui vaudrait presque pour elle seule l’acquisition de ce CD. Un enregistrement très dynamique plein d’excitation et d’émois.
Gilles Blampain (bluesagain.com)
Fans of JJ Grey and his ever evolving band Mofro will be delighted that the Florida swamp sage lives by the dictum "If it ain't broke, don't fix it" on This River. If anything, Grey has doubled down on the grittier, funkier aspects of 2010's Georgia Warhorse, and brought the studio closer to the stage to boot. The sound on this record is live, crackling. Half of its ten tracks are crunchy uptempo numbers that flex their funky muscles. The rest is balanced between well-articulated soul tunes, a rock number, and back-porch ballads. Set opener "Your Lady, She's Shady" is a crusty, greasy funk attack, while "Somebody Else" walks some weird line between part of the melody from the Classics IV's "Spooky" (courtesy of the Atlanta Rhythm Section's cover), vocal phrasing by Wilson Pickett, and guitars, bass, and horns coming straight from Stax. Speaking of which, the horn chart and melody in "Tame a Wild One" come right out of the late '60s -- and in the grain of Grey's whiskey voice, it feels right. "99 Shades of Crazy" is dirty-ass blues-rock inspired by Delaney Bramlett and Sticky Fingers-era Rolling Stones. Choppy syncopated funk makes its return in "Florabama," and one can feel Muscle Shoals dripping from the horns. While this is definitely retro, Grey's fans expect it; they want it. His songs and his presence as a frontman keep things choogling. But there is a surprise in every track -- the jazz-funk trumpet and Rhodes solos in the jumping, grimy "Harp & Drums" are a prime example. The songs on This River are tighter and more deftly written than on previous offerings, but the more immediate, in-the-moment-of-creation production and incendiary performances keep things from getting slick.
AMG
JJ GREY est désormais l'artiste N° du label ALLIGATOR ! Plus de 150000
cds vendus à travers le Monde sur les 3 derniers albums studio. Et plus
de 25000 du Double Live CD/DVD paru l'an passé. Après 12 ans de
carrière, JJ Grey a déjà sorti 7 albums. Ce nouvel album, son 8ème de
fait, nous emmène encore un peu plus dans son univers. Un mélange de
Blues, de rock sudiste gras et de Funk dans l'esprit «Stax». Des riff s
saignants, mais aussi des ballades soul très envoutantes.
e-leclerc.com
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